De plus, l'idée du triangle enferme nécessairement l'affirmation que la somme
des angles du triangle est égale
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shoxs deux droits, et c'est là justement ce que le géomètre démontre. Donc,
cette affirmation est tout à fait inséparable de l'idée du triangle : elle n'est
rien sans l'idée, et l'idée n'est rien sans elle. C'est donc par un simple
artifice de langage que l'on peut séparer l'idée et l'affirmation ; et, à plus
forte raison, ce n'est qu'en paroles qu'on peut séparer l'entendement, cause
supposée des idées, de la volonté, cause supposée des affirmations. Toute idée
enferme une affirmation, et l'affirmation est liée à l'idée. Ceux qui croient
pouvoir isoler l'idée de toute affirmation ignorent tout à fait la nature de
l'idée qui est une pensée, et prennent pour des idées des peintures muettes et
mortes, d'inertes reproductions des choses, telles que sont,
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exemple, les images sur la rétine. Il est bien vrai que si l'on considère une
chose parmi les choses, sous l'attribut étendue, on concoit cette chose comme
soutenue par les autres sans
qu'il soit besoin d'un jugement pour
maintenir l'union de ses parties. Aussi d'une telle chose nous ne pouvons
qu'affirmer qu'elle est présente ou qu'elle n'est pas présente, et encore sans
aucune certitude. Mais si nous voulons la penser réellement, savoir ce qu'elle
est, et non pas si elle existe, nous devons la refaire avec ses parties et la
maintenir et la soutenir ; toute idée est un tissu d'affirmations, et ces
affirmations la constituent ; l'acte de concevoir et l'acte de juger sont
identiques. Disons donc qu'il n'y a point, dans
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de volonté libre. Rien au monde ne peut être indépendant de Dieu, et le cours
des événements, qui résulte, nécessairement et selon des lois éternelles, de la
nature divine, ne peut pas dépendre des caprices de l'individu. L'homme se croit
libre, parce qu'ayant conscience de ses actions il ignore leurs causes ; mais
nous savons bien que toute action à une cause, et nous ne croyons point sur
parole les malades ou les fous qui se croient libres et qui nous disent qu'ils
le sont, car nous savons bien, nous, qu'ils sont aussi esclaves que possible. Et
assurément cela ne veut point dire qu'il n'y ait pour l'homme aucune puissance
ni aucune liberté, c'est-à-dire aucun salut, puisque nous traiterons bientot de
la puissance de l'homme sur ses passions et de la liberté humaine. Cela veut
dire seulement que l'homme n'a point de puissance sur les événements, et qu'il
doit d'abord les accepter et comprendre que dans l'ordre du fait aucun salut,
aucune délivrance, aucun progrès n'est possible.
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