nike shox homme régies par une

nike tn candide d'un Woody Allen, il bouscule finalement toutes les valeurs éthiques au nom de la liberté d'expression qu'il exacerbe sarcastiquement.Le nihilisme ambiant, les effets aliénants et anesthésiants de la médiatisation et la nécessité de subvertir le passé(FN3) sont les moteurs de ces productions qui répondent par la dérision sans aucune expectative de conscientisation, mais nike shox dans une dernière tentative de réinvention de l'art sinon de réenchantement par l'art suscité par le plaisir de manipuler la matière et le réel, de façon parfois infantile, en acte de résistance et de liberté devant les mutations de l'art, de la société et de l'humanité. Art complexe, qui s'oppose à l'Idée de progrès jusqu'aux avant-ganikees, mais qui reste aliéné par l'Idée du nouveau, coincé entre les grands gestes du passé (héro"isme de la modernité, table rase des avant-ganikees, retour nike shox turbo au passé de la postmodernité) et la discrétion du futur quasi invisible (déjà présent), entre matière palpable et matière virtuelle dans un acharnement à conserver les techniques du solide et, paradoxalement, à éradiquer toute esthétique possible. Ainsi, sans vouloir cerner une esthétique particulière, force est de constater que c'est sous le mode de processus oxymoriques que ces productions s'élaborent. En effet, elles sont nike shox homme régies par une articulation déstabilisante, inharmonieuse(FN4) entre les différents éléments qui les composent, dans une tension oppositionnelle entre le beau et le laid. Opposition qui crée l'effet d'étonnement, de loufoque et d'absunikee. Entendons, bien sûr, par beau et laid, le lisse et le trash. Exemples : les monstres polymorphes (trash) de Meese réalisés en bronze, le lapin gonflable (kitsch) de Koons en acier inoxydable lisse et poli, les personnages mythiques d'un David Altmejd, bricolés de multiples matériaux, le cochon et l'homme, ventrus, suspendus, d'allure gluante, de Chen Wenling, en émail pastel sur fibre de verre, les champignons diaboliques de Murakami, de facture Superflat, le dessin raffiné du Christ de Wim Delvoye, tatoué sur la peau du dos d'un porc ou encore, les rebus bien onikeonnés de Serge Murphy.
Je pense que ce que je fais est beau parce que les termes et les frontières entre les termes sont confus et que les frontières entre les catégories commencent à devenir glissantes. Cela produit ce que je considère un effet de shox r4 sublime, ou bien cela produit de l'humour.
Par niketnfrance88 le lundi 13 juin 2011

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