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Est-ce que, je sais, moi, si vous ne me volez pas ? – Tenez, vous êtes nike air max tn un niais, répondit Félicité, que ce cri du c?ur poussé par Antoine fit revenir sur ses pas. Vous avez grand tort de ne pas vous mettre aveuglément de notre coté. Mille francs, c'est une jolie somme, et on ne la risque que pour une cause gagnée. Acceptez, je vous le conseille. >> Il hésitait toujours. << Mais quand nous voudrons prendre la mairie, est-ce qu'on nous laissera entrer tranquillement ? avait achevé de les ruiner. nike tn 2011 De parole en parole, elle en vint à maudire une époque qui forcait le frère à emprisonner le frère. Combien le c?ur lui saignerait, si la justice ne voulait pas rendre sa proie ! Et elle lacha le mot de galères. << Ca, je vous en défie >>, dit tranquillement Macquart. Mais elle se récria : << Je rachèterais plutot de mon sang l'honneur de la famille. Ce que je vous en dis, c'est pour vous montrer que nous ne vous abandonnerons pas… Je viens vous donner les moyens de fuir, mon cher Antoine. >> Ils se regardèrent un instant dans les yeux, se tatant du regard avant d'engager la lutte. << Sans condition ? demanda-t-il enfin. – Sans condition aucune >>, répondit-elle. Elle s'assit à coté de lui sur le divan, puis continua d'une voix décidée : << Et même, avant de passer la frontière, si vous voulez gagner un billet de mille francs, je puis vous en fournir les moyens. >> Il y eut un nouveau silence. << Si l'affaire est propre, murmura Antoine, qui avait l'air de réfléchir. Vous savez, je ne veux pas me fourrer dans vos manigances. – Mais il n'y a pas de manigances, reprit Félicité, souriant des scrupules du vieux coquin. Rien de plus simple : vous allez sortir tout à l'heure de ce cabinet, nike tn air 2011 vous irez vous cacher chez votre mère, et ce soir, vous réunirez vos amis, vous La négociation fut longue, pleine de traitrises, menée avec un art infini. Ils échangèrent d'abord des plaintes vagues.

Félicité, surprise nike tn requin de trouver Antoine presque poli, après la scène grossière qu'il avait faite chez elle le dimanche soir, le prit avec lui sur un ton de doux reproche. Elle déplora les haines qui désunissent les familles. Mais, vraiment, il avait calomnié et poursuivi son frère avec un acharnement qui avait mis ce pauvre Rougon hors de lui. << Parbleu ! mon frère ne s'est jamais conduit en frère avec moi, dit Macquart avec une violence contenue. Est-ce qu'il est venu à mon secours ? Il m'aurait laissé crever dans mon taudis… Quand il a été gentil avec moi, vous vous rappelez, à l'époque des deux cents francs, je crois qu'on ne peut pas me reprocher d'avoir dit du mal de lui. Je répétais partout que c'était un bon c?ur. >> Ce qui signifiait clairement : << Si vous aviez continué à me fournir de l'argent, j'aurais été charmant pour vous, et je vous aurais aidés, au lieu de vous combattre. C'est votre faute. Il fallait m'acheter. >> Félicité le comprit si bien, qu'elle répondit : << Je sais, vous nous avez accusés de dureté, parce qu'on s'imagine que nous sommes à notre aise ; mais on se trompe, mon cher frère : nous sommes de pauvres gens ; nous n'avons jamais pu agir envers vous comme notre c?ur l'aurait désiré. >> Elle hésita un instant, puis continua : << A la rigueur, dans une circonstance grave, nous pourrions faire un sacrifice ; mais, vrai, nous sommes si pauvres, si pauvres ! >> Macquart dressa l'oreille. << Je les tiens ! >> pensa-t-il. Alors, sans paraitre avoir entendu l'offre indirecte de sa belle s?ur, il étala sa misère d'une voix dolente, il raconta la mort de sa femme, la fuite de ses enfants.
Par niketnfrance88 le samedi 13 août 2011

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