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famille, la sale famille que la notre ! Je crèverais de faim, que pas un de ces gueux-là ne me jetterait un morceau de pain sec. Lorsque Macquart entamait ce sujet, il ne tarissait pas. Il montrait à nu les blessures saignantes de son envie. Il voyait rouge, dès qu'il venait à songer que lui seul n'avait pas eu de chance dans la famille, et qu'il mangeait des pommes de terre, quand les autres avaient de nike air shox torch r4 bb la viande à discrétion. Tous ses parents, jusqu'à ses petits-neveux, passaient alors par ses mains, et il trouvait des griefs et des menaces contre chacun d'eux. Oui, oui, répétait-il avec amertume, ils me laisseraient crever comme un chien. Gervaise, sans lever la tête, sans cesser de tirer son aiguille, disait parfois timidement : Pourtant, papa, mon cousin Pascal a été bon pour nous, l'année dernière, quand tu étais malade. – Il t'a soigné sans jamais demander un sou, reprenait Fine, venant au secours de sa fille, et souvent il m'a glissé des pièces de cinq francs pour te faire du bouillon. – Lui ! il m'aurait fait crever, si je n'avais pas eu une bonne constitution ! s'exclamait Macquart. Taisez-vous, bêtes ! Vous vous laisseriez entortiller comme des enfants. nike airmax shox tn Ils voudraient tous me voir mort. Lorsque je serai malade, je vous prie de ne plus aller chercher mon neveu, car je n'étais déjà pas si tranquille que ca, de me sentir entre ses mains. C'est un médecin de quatre sous, il n'a pas nike baskets shox rivalry homme une personne comme il faut dans sa clientèle. Puis Macquart, une fois lancé, ne s'arrêtait plus.

et trouée ! Il mentait ; mais personne, devant sa colère, ne protestait plus. Puis, se tournait vers Silvère : Tu es encore bien naif, toi, de les défendre ! ajoutait-il. Ils ont dépouillé nike femme shox ta mère, et la brave femme ne serait pas morte, si elle avait eu de quoi se soigner. – Non, vous n'êtes pas juste, mon oncle, disait le jeune homme, ma mère n'est pas morte faute de soins, et je sais que jamais mon père n'aurait accepté un sou de la famille de sa femme. – Baste ! laisse-moi tranquille ! Ton père aurait pris l'argent tout comme un autre. Nous avons été dévalisés indignement, nous devons rentrer dans notre bien. Et Macquart recommencait pour la centième fois l'histoire des cinquante mille francs. Son neveu, qui la savait par c?ur, ornée de toutes les variantes dont il l'enjolivait, l'écoutait avec quelque impatience. Si tu étais un homme, disait Antoine en finissant, tu viendrais un jour avec moi, et nous ferions un beau vacarme chez les Rougon. Nous ne sortirions pas sans qu'on nous donnat de l'argent. Mais Silvère devenait grave et répondait d'une voix nette : Si ces misérables nous ont dépouillés, tant pis pour eux ! Je ne veux pas de leur argent. Voyez-vous, mon oncle, ce n'est pas à nous qu'il appartient de frapper notre famille.
Par niketnfrance88 le mercredi 17 août 2011

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